Les Achats, un Défi dans la Crise Actuelle

Deux ans plus tard, la pandémie continue de provoquer des turbulences économiques. Nous savons que beaucoup d’entre vous sont confrontés à cela dans leur vie quotidienne : chaînes d’approvisionnement rompues, commandes en souffrance, augmentations importantes du coût des matières premières et délais de livraison plus longs.

Rejoignez-nous pour un webinaire gratuit où nous examinerons les pratiques d’achat et comment les modules d’achat ERP peuvent vous aider à faire face au chaos d’aujourd’hui.

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Bonjour tout le monde. Je vois qu’on a quelques participants. Je vais attendre un petit peu, voir que les gens se joignent à la session avant de débuter. Parfait, ça monte vite. On va attendre encore un petit peu, peut-être une ou deux minutes, puis je vais commencer. 6, 8. Ça monte, c’est bon. Bonjour Alain, bonjour Carmen, bonjour Dominique, Jessica, Lise, Louise, bonjour tout le monde. Bienvenue au webinaire aujourd’hui. Comme je disais, j’attends un petit peu, on attendait beaucoup plus de monde, je donne encore peut-être 30 secondes aux gens pour qu’ils se joignent, puis après on commence. En attendant, je vais demander à ceux qui sont déjà présents, pratiquez-vous, je vais vous demander si vous avez des questions, vous les écrivez dans la section Q&A dans la section Questions. Vous pourriez juste écrire dans la section Questions. Ça a l’air bizarre, mais d’écrire une question qui me dit: Si vous voyez bien mon écran, où est-ce qu’on a le logo de genius avec l’approvisionnement est un défi. Parfait. Merci Alain. C’est bon, ça. Là, les gens trouvent la section, donc ça me confirme que vous allez pouvoir nous poser des questions. Je vais commencer par me présenter.

Mon nom est François Doyon. Bienvenue à ce webinaire aujourd’hui sur l’approvisionnement. C’est tout un défi dans les dernières années de crise, donc on va parler de tout ça ensemble aujourd’hui. Et comme vous l’avez fait pour vous pratiquer, pour me dire que vous voyez bien l’environnement, et j’imagine que vous m’entendez bien si vous avez fait ça, je vous invite à utiliser la section questions à tout moment dans le webinaire. Je vais avoir une période de questions à la fin, mais j’ai encore un petit peu de problèmes de ma voix. Donc, possiblement que ça va être une section assez courte de questions. Toutes les questions que vous allez mettre dans cette section-là, on va s’assurer d’y répondre par la suite après le webinaire. Donc, si on n’y a pas répondu live pendant la session, on va communiquer avec vous, probablement par courriel, si vous nous avez laissé vos coordonnées. Alors, je commence. Encore une fois, bienvenue au webinaire. On va aller directement dans notre agenda pour aujourd’hui. On va commencer par une petite introduction. Qui sommes-nous chez genius solutions? Après, on va parler de la théorie de l’évolution. Aujourd’hui, on va prendre une approche un petit peu caricaturée, si on veut, à une évolution dans le temps de qu’est-ce que c’est de faire de l’approvisionnement aujourd’hui dans le monde actuel et d’où c’est parti.

On va vous amener dans une mise en situation un petit peu avec toute notre expérience qu’on a avec nos différents clients. Qu’est-ce qu’on a vu, quel genre de technologies, de système les gens utilisent dans les différentes situations. Pour nous amener un point où est-ce qu’évidemment, on va amener des solutions avec l’air de genius. J’y arrive tantôt. Évidemment, on veut aussi parler de qu’est-ce qui se passe avec la crise. On va avoir un bon point là-dessus aussi à peu près à demi-session, juste avant la démo, pour enfin avoir une petite période de questions à la fin. Mon nom est François Doyon. Je suis ingénieur pré-vente chez Genius. Ça fait presque huit ans que je suis avec la compagnie pour me présenter un petit Donc, parlons plus de genius en tant que tel. Un genius, je dirais, après huit ans, vous comprenez que c’est toute une compagnie, toute une belle équipe, des gens qui ont à cœur la satisfaction des clients. Notre marché cible est vraiment des gens dans le manufacturier, dans un logiciel ERP que nous desservons. C’est vraiment un logiciel que nous fabriquons, en pratique. Nous sommes et le fabricant ce logiciel et les gens qui le desservent.

C’est un logiciel qui est vraiment construit pour le manufacturier, plus particulièrement en plus pour les gens qui font de la fabrication sur-mesure. Une évolution d’où on vient chez Genius. C’est drôle, on va parler d’évolution, justement, aujourd’hui. Donc, Genius a été fondé en 89 par un groupe d’ingénieurs, puis qui donnait, à vrai dire, plus des services de consultation en ingénierie. Par la suite, ou j’aimerais dire dans l’ingénier industriel. Par la suite, on a vu apparaître quelques versions de logiciels ou quelques modules qui ont pris forme autour des années 95, on avait une version still doss de genius. Mais c’est vraiment en 2006 qu’on a vraiment pris une nouvelle courbe, une nouvelle façon d’aborder le marché pour pour vous souvenir un peu le logiciel que vous connaissez aujourd’hui sous le nom de GeniusERP. Et comme on le voit, aujourd’hui, on a des centaines de compagnies qui nous font confiance puis qui travaillent avec nous. On répète un petit peu ici, 30 années d’expérience comme je viens de vous dire. Aujourd’hui, on a une des centaines d’employés. Ça fait déjà vraiment trois ans qu’on a franchi cette base-là de 100 employés. Ça se tient bien avec des milliers d’utilisateurs, des centaines de clients comme on disait.

Ce qui est, je pense, le plus important ici, c’est la rétention client. 96 pour cent. Dans le milieu, on entend parler de 70, parfois même moins. On est très, très fiers chez Genius de dire que quand un client vient avec nous, il reste avec nous. On a une bonne satisfaction. Le pourcentage de croissance peut-être qui est un peu biaisé, le J’ai repris quelque chose qui datait de l’année dernière. Possiblement qu’avec la crise, nous aussi, on a peut-être pris un petit bump sur la croissance. On est peut-être plus autour de 20, 20 quelques pour cent. Là, ce serait plus 25. On a quand même une belle empreinte. Je pense que c’est le mot footprint en anglais, à travers le Nord-Amérique, qui est notre marché. Vous le voyez, c’est la couverture en rouge, c’est où est-ce qu’on se situe, où est-ce qu’on a de la clientèle entre autres. Ici, on va parler d’une couverture fonctionnelle. C’est une slide, si vous me permettez l’expression, un diapo. Est-ce qu’on va parler de qu’est-ce que Genius fait? Un peu toutes les fonctionnalités qu’on offre, la technologie en arrière. Je ne passerai pas trop de temps là-dessus. On va parler surtout de l’approvisionnement aujourd’hui, mais au cas où vous voulez savoir ce genre d’informations-là.

Et oui, on a fait un webinaire l’année passée qui portait surtout sur les nouveautés qui est probablement disponible en ligne. Mais à savoir que dans les récentes améliorations de l’année dernière, on avait la consommation à l’eau des outils des outils mobiles. Beaucoup de choses sont arrivées dans notre environnement. La gestion des garanties du service, des choses comme ça. Donc on continue à ajouter pour tout le temps amener une meilleure solution à nos clients, tout en écoutant les besoins de nos clients. Comment est-ce qu’on peut se prévaloir de cette solution-là, de GeniusERP? On pourrait l’acheter et l’installer sur notre propre environnement ou encore l’installer peut-être sur notre propre hébergement. On peut aussi le louer et genius offre aussi de l’hébergement. Si vous voulez avoir une solution tout en un avec l’hébergement inclus, on offre aussi ce genre de déploiement-là. Donc, Génie se différencie sur le marché de plusieurs façons. Vous avez peut-être entendu parler de nous sous forme de notre intégration au logiciel de dessin, la planification intelligente, la gestion de projets, le fait qu’on gère des transactions en temps réel, qu’on a beaucoup de visibilité dans le logiciel. C’est des choses qui nous démarquent d’habitude.

Si vous êtes curieux, sur la plupart de ces sujets-là, on a déjà fait des webinaire. Donc, je vous inviterai, si vous êtes curieux, à aller sur notre site web dans la section Ressources. Vous allez voir qu’on a plusieurs webinaire que vous pouvez retracer et écouter à votre convenance, il y a des vidéos à enregistrer. On part. Aujourd’hui, on veut vous parler de l’évolution des achats ou des approvisionnements. Comme je vous disais, ici, on a fait ça un petit peu caricaturé, dans le sens qu’on va vous parler de quatre R, ou plutôt cinq. On va en arriver à un bout à un à un moment donné à parler de l’ère de genius, qui est comme la solution qu’on veut apporter aujourd’hui. Et vous voyez que je me suis amusé aussi à rajouter un petit peu d’aléa entre notre ère contemporaine et l’ère de genius, avec quelques petits… Covid. En tout cas. Il y a un effet pandémique, on va aussi rentrer dans la discussion aujourd’hui. L’idée de Réal, c’est différent à l’heure-là, c’est qu’on veut vous présenter différentes mises en situation, des choses qu’on a appris ou qu’on a vues avec nos clients. Vous allez comprendre qu’on va partir des gens qui ont moins de système à s’en aller vers des gens qui sont peut-être un peu plus en contrôle, qui ont essayé différentes solutions.

C’est un peu la mise en situation qu’on peut vous faire aujourd’hui. Donc, si on part avec l’âge de Pierre, vous pensiez que la découverte du feu a été difficile. Qu’est-ce qui se passe ici? On est dans une compagnie où est-ce qu’on a cinq, six roles différents. Et tout le monde est probablement à sa sauce investit dans les activités d’achat ou d’approvisionnement. Ce qui veut dire que tout le monde achète tout, tout le monde fait ses propres manipulations. Qu’est-ce que je veux dire par là? Mon estimateur demande des prix à un fournisseur. Après ça, j’ai mon ingénieur qui fait du dessin, du design, qui se retourne, qui va probablement acheter. Encore une fois, peut-être, il va recontacter les mêmes fournisseurs ou on va en contacter d’autres. Encore une fois, on n’a peut-être pas les mêmes méthodologies ou les mêmes préférées. Donc, on se retrouve avec plein de gens qui vont commencer à attirer partout, puis à essayer d’amener ensemble toute l’information pour que la compagnie puisse se démarquer. Qu’est-ce que c’est les défis dans cette situation-là? C’est bien difficile de prévoir qu’est-ce qui va arriver dans le temps. Dans le sens qu’on n’a pas un système où on a une visibilité sur toutes ces demandes-là.

Pourquoi on en a besoin? Qui l’a demandé? Je m’en allais là-dessus. Les payables, j’imagine qu’il y Il y a quelqu’un qui veut se retrouver: Oh, on m’a envoyé trois de ces pièces-là, j’ai la facture. Il y en a une que c’est l’estimateur. Il y en a une que c’est R&D. L’autre, c’est les achats. Essayer de retracer tout ça et d’expliquer pourquoi on en a acheté trois. C’est quasi impossible dans un milieu comme celui On a aussi plusieurs personnes informées, que quelqu’un qui rentre, il faut apprendre un peu comment faire ça. On se retrouve avec un peu des… Tout plein d’informations décentralisées. On va se retrouver dans un courriel, l’autre c’est sur un post-it sur le bord de l’écran, l’autre c’est dans un fichier Excel. Très, très difficile d’avoir de l’alignement dans ce genre d’environnement-là. Donc une vision commune et claire et qu’elle s’y est passée. Ce qui m’amène à parler de l’Antiquité On va appeler ça l’ère de l’Antiquité. Il y a une raison pourquoi on appelle ça des ruines. Moi, j’aime ça des fois dire: On est passé de l’âge de pierres à avoir des pierres qu’on a voulu faire quelque chose avec, mais on ne s’en est pas trop sorti tant que ça.

Je pense: qu’est-ce qui se passe ici? C’est sûr qu’on veut amener une solution au fait qu’on a toutes ces activités décentralisées. Avec la première approche, avec mon air d’Antiquité, ce que je veux parler, c’est: on va créer un nouveau rôle qui est celui de l’acheteur. Donc, on réalise qu’on a besoin d’un intermédiaire de quelqu’un qui va pouvoir nous amener à gérer ça, à centraliser un peu nos activités. Donc, création d’un nouveau rôle. Mais on a encore, évidemment, tous les autres rôles qui sont fondamentaux au fonctionnement de l’entreprise. On n’a pas enlevé ça. Qu’est-ce qu’on est venu faire? On est venu créer une situation où est-ce que tous ces gens-là vont amener toutes leurs demandes de création de PO, par exemple, à notre acheteur en créant un rôle central. Je vais répéter un petit peu. C’est ce que je viens de dire dans le fond. Les gens vont envoyer leur demande à notre acheteur, mais qui est un humain, qui va devoir lui passer un peu chaque demande en revue sur Je vais demander comment je la gère, j’attends tout ce que je regroupe. Donc, on se retrouve encore dans une situation qui est… On a mis un filtre, si on veut, ou un intermédiaire à la demande, mais reste qu’à ce moment-là, cette personne-là reçoit toute forme d’information.

On se retrouve avec, par exemple, un estimateur qui va nous envoyer un courriel: J’ai besoin de prix pour ça. L’ingénieur qui nous envoie un fichier Excel, si on est chanceux, ou encore qui va nous laisser un papier imprimé sur le coin du bureau. Puis après ça, je une carte de la production ou un message vocal. Et là, l’acheteur se ramasse avoir lui aussi plein de formes d’informations, plein de formats d’informations. Pas de système dans le fond. Notre acheteur devient un pompier. C’est-à-dire quelqu’un qui est quelqu’un qui éteint des feux plus qu’il est concentré vraiment à gérer les approvisionnements. Qu’est-ce qui arrive dans cet environnement-là? Quelle demande passe en premier? Moi, j’aime ça appeler ça tout de suite: la personne qui crie le plus fort. Moi, j’ai entendu ça tellement souvent dans mon expérience. On se retrouve avec plusieurs personnes qui crient, qui crient. Souvent, on se retrouve avec une personne en plus qui sait jouer la game un petit peu, qui va c qui est peut-être moins fort que les autres, mais en dernier. Pour que sa demande passe en premier, évidemment. Dernier qui crie, c’est le premier en haut. Vous comprenez que cette réalité-là, elle est malheureusement très, très présente encore chez beaucoup de gens qu’on a rencontrés.

Puis, ça fait un phénomène où est-ce que l’acheteur, pour pas perdre un peu le fil de qu’est-ce qui se passe, va passer transaction par transaction parce qu’après ça, il se retrouve, comme on disait, avec plein de formats d’informations devant lui, qui s’est dit: C’est difficile à rapatrier pour savoir s’il en a pris soin. Souvent, les gens vont gérer au compte-goutte ces demandes-là. Et par la suite, l’autre enfer qui vient un peu après ça, Mike… Je vais l’appeler Mike, mon acheteur, pour faire exprès de donner un nom un petit peu. Mike se retourne, puis là, il faut qu’il donne des nouvelles. Ou encore, le téléphone sonne: Tu sais, le fichier que je t’ai envoyé. Lequel? Et là, il doit donner des nouvelles, un update. Il faut qu’il se retourne puis il trouve le match du PO qui était avec le Post-it qu’il avait sur son bureau. Écoutez, ça et encore, on peut avoir des clés payables, la comptabilité qui est désalignée. Ça reste un petit peu un cauchemar avec un pompier comme acheteur. On s’en va dans une autre aire. Là, on est un peu mieux, on a des chevaux des armeurs. On commence à rentrer un peu de science dans tout ça.

On va se donner des outils. Ça fait même pas mal. Même avec une jambe en moins, j’étais encore capable de faire ma job. C’est un petit peu la blague ici. On veut amener dans cette réalité-là un peu plus de science. On va rentrer quelques systèmes à travers de tout ça. Parce qu’évidemment, si vous êtes passés par là, souvent, les acheteurs ou les gens dans la compagnie, il y en a une couple qui sont un petit peu plus futés, puis qui vont commencer à penser à Qu’est-ce qu’on a vu apparaître dans l’évolution de ces systèmes-là? C’est des choses comme le camion. Il y a quelqu’un à un moment donné qui s’est dit: J’ai une pile de matières, de matériaux, puis quand j’arrive à un certain point, je pourrais juste laisser une carte là, puis quand j’arrive à un point, je prends la carte, je la donne à l’acheteur, il y a déjà toutes les spécifications dessus. L’acheteur, il fait sa job. On ramène l’inventaire. Moi, je n’en manque jamais. Tout va bien. La vérité, c’est vraiment cool, les caramères. Ça fonctionne super bien. J’en ai vu la chance de l’utiliser dans le Ça fonctionne bien dans un milieu où est-ce que la demande est stable.

Ça veut dire qu’il m’en reste 10 à ta tablette, j’en veux toujours 20. Mais si j’en mets, c’est que je sais que je vais en avoir besoin bientôt. Je ne veux pas avoir l’argent qui dort sur les tablettes. Si on fait face plutôt à un environnement sur mesure de fabrication où est-ce que j’ai des produits spécifiques qui rentrent, à ce moment-là, souvent, les cambans ne sont pas efficaces. Je ne suis pas le droit de prévoir ma membre, entre autres. Ou si j’ai des besoins qui futent d’une fois à l’autre, un camban n’est pas réaliste. Qu’est-ce qu’on a d’autres comme système qui peuvent rentrer aussi? Je vais poursuivre mon idée. Après ça, on a aussi des systèmes comme des fichiers Excel. On a vu des gens essayer de gérer leur inventaire sur fichier Excel. Donc là, on faisait la liste de qu’est-ce qu’on a. On essaie de la venir à jour, dès que quelque chose rentre, sort. Il faut que quelqu’un puisse mettre à jour ce fichier-là manuellement. On en a qui sont moins sujets à le de faire, on perd un peu le fil. On essaie de rentrer des systèmes pour être un peu plus sous contrôle.

Encore une fois, ces systèmes-là sont souvent un peu déconnectés. Même si j’ai un ou deux systèmes, je peux peut-être avoir une personne, comme on le voit ici, le directeur de la production qui est un petit peu plus heureux. Il y a une partie de sa gestion qui est sous contrôle un peu. Mais je me retrouve encore que les ingénieurs qui vont me donner des relâches, par exemple, ou des dessins à venir acheter. Puis après ça, j’ai quelqu’un au ventre qui le crée: T’as acheté ma pièce? Où est-ce que c’est rendu? C’est quoi À la date, on n’a toujours pas de système pour nous aider à gérer le fait que ça crée encore de tous les côtés. J’ai encore des Post-it, des papiers, des emails. Je n’ai pas une façon centralisée de gérer mon information Donc, à la fin, notre acheteur demeure malheureusement encore un pompier. C’est répétitif un petit peu, c’est ce que je viens de vous dire. Les cambans sont une très bonne solution dans un milieu stable et répétitif. Dans d’autres environnements, comme on verra bientôt, c’est un autre défi. On est encore dans un milieu avec des téléphones, des courriels, des… Probablement…

J’aime bien celle-là, à la tonne. Des fichiers Excel à la et puis à ce moment-là, de les garder à jour, ça devient aussi un autre monstre cléical à gérer. Ce qui m’amène à l’époque contemporaine, à entrer dans la danse. Moi, cette l’air contemporaine, je la vois un petit peu d’une façon où est-ce que, justement, on fait de la danse, il faut être flexible, il faut être très flexible. Ça, ça veut dire notre idée derrière cet air-là, je vous le dis tout de suite, c’est les manufacturiers sur mesure. Des gens qui vont faire des nouveaux designs à chaque fois, de la fabrication sur commande, du design sur commande. Donc, on va se retrouver avec un produit qui change beaucoup à chaque commande. Peut-être une offre avec des options standard, mais quand même avec une des demandes très variée. D’où un peu l’effet de la danse, de la flexibilité. Qu’est-ce qui se passe? Plus que jamais, les demandes fusent de partout. Parce que là, j’ai plus de demandes à l’appri que d’habitude, j’ai souvent des nouvelles composantes J’ai mon R&D qui travaille, puis pas à peu près à faire des révisions ou encore à garder à jour nos offres qui sont peut-être un peu standard quelquefois.

Et après ça, ça fuse de partout. Donc, on n’est pas sorti du bois dans cet environnement dans cette nouvelle aire-là. À vrai dire, comme je le disais tantôt, ça devient un tout autre monstre. Et on a encore des gens qui nous demandent des choses de partout. Non seulement ça, mais des choses comme les cambans dont on a parlé. Souvent dans les situations comme ça, je regarde mon point trois ici. On a moins d’inventaire qu’on peut justement prévoir la demande. On se retrouve avec moins de cambans possible si on en a de possible. J’ai vu des environnements parce qu’on n’avait aucun inventaire. Les Les gens font tellement de surmesure qu’à chaque commande, tout est commandé à chaque fois. Et dans d’autres environnements, on avait certains produits matières brutes qu’on pouvait couper, garder, puis essayer de prévoir un petit peu la demande. Regardez dans cet environnement-là, on se retrouve avec des hauts pourcentages de produits physiques qui passent et qu’on ne revoit pas. Dans cet environnement-là, on a encore plus le stress qui monte. On a des gens qui vont nous fider de la demande, qui vont nous donner des demandes un peu de partout. Il y a encore plus de suivi nécessaire parce que si ma production se demande: Est-ce que je peux commencer à produire ce produit-là?

Quand est-ce que mes pièces arrivent? Ce n’est pas juste de regarder l’inventaire et de marcher le plancher. Ça devient vraiment une fait d’équipe avec l’acheteur, avec l’approvisionnement, savoir quand je peux commencer à produire. On a vraiment une symbiose qui est nécessaire à ce niveau-là dans un environnement comme ça. Ici, je vais taper. Je suis un ingénieur, je me permets de taper un peu. Ici, comme je parlais, l’ingénieur devient quelqu’un de très, très flexible, de très danseur aussi, parce que dans un environnement comme ça, les ingénieurs sont très en demande. On va faire beaucoup de designs, on va faire de la conception en beaucoup dans ces ce rendement-là. Puis non seulement l’ingénieur, mais beaucoup d’autres joueurs deviennent tout d’un coup des personnes qu’on voit un petit peu de façon négative parce qu’on va avoir… Par exemple, l’ingénieur, s’il nous envoie, mettons, une relâche parce qu’il vient de finir un dessin qui vient d’être approuvé. Si on est chanceux, c’est la version finale. Son échanceur, il est chanceux, elle est complète. Probablement beaucoup de gens qui sont à l’écoute aujourd’hui, qui ont des environnements où est-ce qu’on va relâcher une portion, on va continuer à dessiner, on se met à produire, on va relâcher une autre portion.

Ça, c’est quand on n’est pas rendu au 8ème changement d’ingénierie. Ça, c’est des réalités qu’on voit beaucoup chez nos clients, chez Genius. Donc ça, ça amène toute une autre dimension au défi dont on a parlé jusqu’ici. Puis après De toute façon, il y a des gens, je vais vous pointer la R&D, mais ça pourrait être les ventes aussi qui doivent se retourner et rapidement prendre des pièces, faire des tests ou encore envoyer des pièces de remplacement à nos clients. Ces gens-là vont peut-être se tourner vers les fameux fichiers Excel dont on parlait plus tôt, je n’avais besoin d’un, le fichier disait qu’on en a deux, puis quand je suis arrivé à la tablette, il y en avait deux disponibles. Mais dans notre fichier, ça ne dit pas que trois jours plus tard, on a une production super importante qui avait besoin de ces deux pièces-là. Ces gens-là En voulant bien faire, on fait les validations du monde, mais on prie les pièces puis ont créé une situation critique de réapprovisionnement qu’il faut être au courant rapidement. Malheureusement, souvent, ce qui arrive, c’est que le fameux directeur de la production arrive et il dit: Il a R&D de m’envoler mes pièces, j’en ai besoin Mais aujourd’hui, Mike, il faut que tu m’amènes ça demain, sinon on a un problème.

Ça, c’est malheureusement des choses qu’on entend beaucoup chez nos clients. Puis souvent même, j’ai vu des choses où est-ce qu’on avait des gros assemblages à faire. Puis Ces pièces-là étaient des fois même tassées jusque dans la cour arrière en attendant des pièces l’autre semaine, puis on rentre cet assemblage-là et là, il y a des frais incroyables juste à bouger les travaux en cours. Ça, c’est des réalités auxquelles on a souvent fait face en écoutant nos clients puis nos nouveaux revenus, entre autres. Mike, écoute, qu’est-ce qu’il fait? Moi, mon acheteur ici, Mike, ce n’est pas un gros danseur. Tu le vois, il a l’air un peu stiff. Le bougie-ougie, ce n’est pas C’est pas son affaire. Lui, il va essayer de gérer ces différents fichiers qui sont pas si tant à jour. Il va peut-être essayer de créer des systèmes à l’interne pour essayer de s’assurer que le flow passe entre tout le monde, que l’information circule. Peut-être un autre fichier Excel pour la des livraisons par projet. Est-ce que le PO est passé à qui?. Nire ça à jour, ça devient tout un casse-tête. Essayer d’animer ça en plus avec la planification de la production.

On se retrouve encore avec tout un cauchemar sur les bras. Ça, c’est sans compter… Je pense que j’ai assez beurré. On comprend qu’à ce point-ci, on est dans un méchant cauchemar. Donc, un vrai film d’horreur. On l’a beurré. Ça ne va pas bien. On s’entend que le vu un peu Je vais vous montrer ici les différentes étapes, c’est… On a des gens qui partent de loin, on a des gens qui ont déjà quelques systèmes en place. Il y a des défis dans ces environnements-là, surtout si vous n’avez pas un système comme un RP. Puis même un système avec un RP, on y reviendra. Il ne faut pas oublier qu’il n’y a pas juste le rôle de Mike Lashner, mais il y a toutes les autres personnes autour. Les autres rôles dont on a parlé ont aussi des besoins qui sont criants pour s’assurer que la compagnie tourne. Ces gens-là ont aussi des besoins et des lacunes s’ils n’arrivent pas à avoir le feedback qu’ils ont besoin de Mike. La responsabilité de Mike n’est pas seulement de se retourner passer les PO, mais c’est de ramener cette information-là pour que la shop tourne. Là, je ne sais pas si vous êtes endormi comme mon petit monsieur ici.

Je vais vous raviver un petit peu. J’avais un sondage à vous demander de remplir. J’aimerais savoir où vous vous voyez dans les différents R qu’on a vus jusqu’ici. Et là, Ryan, je ne sais pas si tu es avec moi, si tu peux partir le sondage, c’est moi qui le fais. J’essaie de trouver où est-ce qu’il est dans ma petite seconde. Merci beaucoup. Vous devriez avoir le sondage à votre écran en ce moment qui vous demande: Votre compagnie se situe à quelle des époques? Je vais faire un petit rappel. L’âge de Pierre, on va parler ici de Là, je ne sais pas si on a des votes qui rentrent. En ce moment, je vois que les gens ne peuvent pas voter. Je ne sais pas si c’est correct, celle-là. Je vous décris les choix, puis après ça, on va voir. J’ai peut-être un problème avec mon sondage. L’âge de Pierre, on s’entend, on n’a pas de système. Tout le monde fait de l’approvisionnement, tout le monde fait un petit peu sa preuve de petites choses. En le fond, on travaille très en silo. Deuxièmement, on a l’Antiquité, qui était dans le au fond, on va amener un rôle d’acheteur.

On va centraliser un peu ce rôle-là avec une nouvelle personne qui est dédiée à ça dans l’entreprise. Le Moyen Âge, c’est qu’on se retrouve avec certains systèmes, des cabans, des choses comme ça. On est probablement plus dans une situation un peu répétitive, des produits qui sont quand même assez standards d’une fois à l’autre. Tandis que la période contemporaine, de son côté, elle, c’est vraiment un milieu de production sur mesure, de design sur comment de la fabrication sur commande, des choses comme ça. Ou encore que vous ne vous voyez pas dans aucune de ces situations-là, ou peut-être que vous avez déjà un système en place, puis vous vous sentez déjà un peu plus évolué que les aires que je vous ai proposées. Là, de mon côté, Réan, moi, je ne vois pas aucune des réponses rentrées. Peut-être que tu vas le relancer. Ben oui, OK, parfait. Super. C’est bon. Ok, fait qu’on a des… Je suis surpris. Ok, Je m’attendais à ce que les gens me disent: beaucoup contemporaine. J’ai ça, mais j’ai aussi une équivalence dans les résultats au niveau de l’Antiquité. Je n’oublierai pas non plus, vous êtes quelques-uns à avoir un environnement un peu plus peut-être répétitif avec des cabas, des choses comme ça.

Mais mes deux plus hauts votes sont vraiment au niveau de l’Antiquité. Où est-ce que vous avez peut-être un acheteur, mais pas vraiment de système. Et à l’époque contemporaine, où est-ce qu’on va vraiment avoir, comme je disais, de la fabrication sur mesure avec des systèmes qui tire de la patte, est probablement un acheteur en place. Normalement, dans tous ces sujets-là, j’ai un acheteur en place, mais les systèmes me font un peu le faux bon si j’en ai des systèmes. Je vais fermer ça. Merci beaucoup pour vos réponses. Et on va repasser à la présentation. Là, normalement, je serais passé à vous donner un peu la solution et parler de l’air de genius. On serait rendu là dans ma présentation, comme je l’ai clarifié au début, mais évidemment, les deux dernières années m’ont un peu forcé à pas oublier un ou deux sujets très, très importants qui ont amené d’autres facteurs dans les défis d’approvisionnement de nos jours. Je pense que vous allez tous devenir Je parle de le dessin parle par lui-même. On va parler de la Covid. La Covid, pour ceux qui savent pas, c’est quelque chose qui est arrivé en 2019, puis on vit encore pas mal de temps aujourd’hui.

Cette pandémie-là a amené beaucoup de choses que je que personne n’aurait pu prévoir. Dans les impacts, qu’on va mentionner aujourd’hui pour un peu décrire la situation au niveau de l’approvisionnement, il y aurait la main d’œuvre. Ça, c’est un des plus gros facteurs. Et ça a eu un impact cascadre, si on veut, sur tout le reste de l’approvisionnement. On s’est retrouvé avec des ruptures un peu partout dans plein de domaines, avec des gens qui pouvaient soit juste plus travailler parce qu’ils étaient confinés. On s’est retrouvé avec des gens qui, par le hasard était clé dans l’entreprise, mais devaient manquer longtemps parce qu’il tombait malade. Puis malheureusement, si votre expérience correspond à la mienne, les gens qui ont été frappés par ça, c’est souvent pas juste une ou deux journées qu’on les perd. Ou encore le télétravail qui ont ralenti ou l’adaptation a demandé un peu de rattrapage à ce niveau-là. On s’entend que la conséquence de ça, c’est qu’on s’est retrouvé avec des gens qui, tout d’un coup, ne pouvaient plus nous donner nos produits, n’étaient plus en mesure de le faire. Ou encore même chez nous, on ne pouvait plus donner à nos clients, on se ramasser avec l’accumulation de produits.

On avait comme tout le temps une espèce de désynchronisation entre nos fournisseurs, nous et nos clients. Après ça, on a parlé de la main d’œuvre. Je vais appeler ça les frontières. Parce que traverser une frontière est devenu soit plus réglementé, plus possible du tout pour certains produits des fois, ça l’a vraiment rendu un côté beaucoup plus complexe. Ça, c’est sans compter le fait qu’entre les pays, les vagues de la Covid étaient qui n’était pas synchronisé. Des fois, tu avais un pays qui confinait, l’autre qui déconfinait. Les règles, ça a été un beau puzzle, c’est toujours un beau puzzle. Ça aussi, n’importe qui qui essaie de faire de la prévision dans le temps, je ne pas connu d’experts qui arrivent à prédire tout ça. On a vu des impacts majeurs sur les délais d’approvisionnement, des produits qui ne devenaient carrément plus disponibles du tout. Vous avez sûrement entendu parler des composantes électroniques qui ont carrément qui détruit certaines business, automobiles ou même des fabricants de machinerie. Ou encore le prix du métal qui fait juste des bons incroyables. Après ça, ça a eu comme impact aussi des changements de stratégie. On a vu des études sortir.

Je pense, entre autres, dans un rapport de HSBC que j’ai vu en 2021, qui disait que 29 pour cent des compagnies globalement dans le monde qui ont décidé de diversifier leurs sources d’approvisionnement. C’est logique. Je suis plus capable à tout d’un Je n’arrive pas pendant deux, trois mois à avoir mon produit, mon fournisseur, je vais être obligé de me créer des alternatives, puis de gérer les alternatives, ce que je ne faisais pas avant. On va appeler ça… On ne peut plus se baser sur un fournisseur, on va être obligé de diversifier. On va regarder ça comme ça. Après ça, on a commencé aussi à entendre parler de… J’ai une expression en anglais, le reshoring, d’acheter local. Les gens se sont dit: Il faut être autosuffisant localement. Oui, je veux une alternative, peut-être d’un autre pays et localement. Là, ce n’est plus C’est juste d’en avoir plus qu’un, mais c’est aussi d’en avoir de différentes régions pour être capable de faire face à qu’est-ce que la pandémie pourrait frapper la prochaine fois ou autre chose. Une autre chose que moi, j’ai vue beaucoup, même en parlant à certains clients, on a, on a beaucoup de gens qu’on a vus qui ont commencé à garder beaucoup plus d’inventaire, d’acheter, suracheter pour que eux puissent traverser cette période-là en pouvant continuer à fournir leurs clients.

Mais aussi, il y en a certains qui ont tellement à acheter, c’était en espérant de devenir une de ces sources locales, puis d’être capable d’aider le marché local ou encore de se faire une nouvelle branche à leur compagnie. Ça, c’est ce qu’on a vu avec la Covid. Puis après ça, est arrivée la guerre en Ukraine. La guerre en Ukraine, je ne vous dirais pas que je suis un expert, il y a beaucoup de choses politiques là-dedans, mais je vous dirais qu’en plein milieu de la pandémie, j’aimerais bien vous dire que c’était post-pandémie, mais je pense qu’on est encore vraiment dedans. Une des premières choses que moi, j’ai remarquées, et puis probablement que c’est la même chose pour tout le monde ici, le prix de l’essence a vraiment fait mal à différents marchés. Spéculation embarquée, etc. Il y en a vu les prix monter partout, mais ce n’est pas tout. Il y a Il y a eu des grands produits qui viennent essentiellement de ces zones-là. Il y a eu des sanctions gouvernementales, il y a eu carrément… En Ukraine, il y a certains produits qu’on ne peut juste pas produire. Les gens ont Moi, je pense, entre autres, au nickel qui a un impact direct sur le stainless ou l’essence dont on a vu aussi les impacts.

Donc, on s’entend qu’il y a eu des conséquences sur des produits spécifiques. Il y a eu des jeux sur des délais qui finissent pas de changer. On se se trouve avec une toute nouvelle réalité. Qu’est-ce qui a été le mot? Les experts se sont prononcés. Il y a eu beaucoup d’études de fait, parce que c’est l’inquiétude un peu partout, sur tous les niveaux, en tous les marchés, dans le manufacturier particulièrement. Et Là, moi, je suis allé chercher un peu qu’est-ce qu’on voyait sur le marché. On en a parlé depuis le début, centraliser nos activités avec un acheteur, de se trouver des outils, d’avoir de la visibilité. C’est un petit peu ce qu’on voit dans les études. Je vous en sors une que j’ai trouvée sur Internet, sur McKinsey et compagnie, mais ça reflète quelque chose que j’ai vu dans d’autres zones et d’autres rapports que j’ai pu trouver, mettre la main dessus. Puis, entre autres, comme vous le voyez, il parle de… C’est en anglais, désolé. Il parle d’avoir plusieurs sources pour pour nos produits. Nearshoring, ça veut dire justement acheter local ou plus près de chez nous, puis centraliser nos activités de planification d’approvisionnement.

Donc, ça va beaucoup en ligne avec ce qu’on vous présente aujourd’hui. Je vais essayer de faire un sommaire rapide, mais dans le fond, qu’est-ce qui se passe? J’avais un beau tableau de money qui montrait nos fournisseurs, nous, nos clients, avec tout le cash flow autour, puis tout devenait rouge, le même cute. J’ai décidé de pas le mettre parce que je trouve qu’on se On commence à se répéter beaucoup. Mais en gros, c’est venu déranger puis faire une cascade d’événements entre fournisseurs, nouer nos fournisseurs, mais là, pensez-y un petit peu. Nos clients ne savent plus trop comment se positionner aussi. Ils vont peut On peut aussi décider de diversifier. Tout le monde joue avec leurs demandes d’une façon inhabituelle. Je m’en souviens, vous avez dit que vous étiez quelques-uns à être dans un mode un peu plus répétitif, peut-être. Même dans ce mode-là, c’est comme si tout d’un coup, vous deveniez dans un monde qui est prévisible. Vous deveniez un peu dans la même réalité que ceux qui font des produits spécialisés qui sont nouveaux à chaque fois. Parce que là, mon client habituel revient pas, puis c’est un autre client qui se présente avec une nouvelle demande.

J’imagine que pour vous, cet effet-là est domino sur tout le monde. Après ça, on a nos idem, nos besoins, où je m’approvisionne, où le délai d’approvisionnement fluctue avec les vagues, avec la disponibilité de la main d’œuvre, etc. Qui est carrément imprévisible aujourd’hui. Et évidemment, si on essaie de faire des soumissions, d’avoir des prix, ces prix et ces soumissions-là n’ont aucune durée de vie. Je ne sais pas si vous avez vécu ça, mais on vit dans un monde de demandes de prix aujourd’hui. C’est quelque chose qu’on entend continuellement. Donc, il faut être capable de pouvoir faire des demandes de prix facilement, de les retracer facilement. Puis non seulement ça, on vient de le dire, on veut se diversifier. Probablement que ces demandes de prix-là, qu’on envoyait à un, peut-être deux fournisseurs, aujourd’hui, on va l’envoyer à trois, parce que la journée qui va arriver, qu’on a le besoin, le un est fermé, le deux pas disponible. Là, on veut encore plus diversifier. Côté cléaglicance, ça peut demander beaucoup plus de travail qu’avant. C’est ça, donc avoir des vendeurs alternatifs. Je regarde un petit peu mes notes, voir si je n’oublie pas quelque chose, mais en gros, je refais ma boule pour dire qu’évidemment, aujourd’hui, on vit encore dans un gros cauchemar.

Je ne vous mettrais pas nécessairement la diapo du cauchemar, mais on revient au même Le point qu’on était, c’est juste qu’aujourd’hui, il y a d’autres facteurs qui fait qu’on est dans une autre réalité en plus que celle qu’on vivait depuis, probablement avec une certaine stabilité jusqu’à il y a deux ans. Le but, c’est… On veut s’en sortir. C’est quoi le rêve pour qu’on puisse dormir paisiblement comme mon petit monsieur ici, qui peut être… Ça se voulait être Mike, qui dort paisiblement la nuit, qui ne fait plus de cauchemar, qui arrive au travail léger. On aimerait ça que ce soit la joie,, on aimerait ça que Mike fasse partie de notre belle ligne de personnes qui sont content d’aller au travail, puis qui sont léger, si on veut. C’est quoi le rêve? On va essayer de le décrire ici un petit peu, on aimerait ça que tous les gens travaillent un peu dans le même système, donc que les demandes soient centralisées. Ça, ça va nous donner, dans le fond, plus de visibilité. On parle de moins de transactions, ici, ce que je veux dire par là, vous avez le problème avec Ça, où est-ce que j’ai mon ingénieur qui arrive avec un projet, qui veut un produit d’une place, mais en même temps, j’ai la R&D qui est arrivée après, puis comme je n’ai pas trop de système pour les gérer, j’ai passé un PO une fois à un fournisseur.

La R&D arrive, j’ai passé un autre PO au même fournisseur. À la fin de la journée, j’ai passé quatre PO à un fournisseur. Puis des fois, c’est peut-être même le même produit que j’ai acheté deux fois dans la journée. Tu peux me donner un peu de pouvoir de négociation, puis peut-être faire moins de cléricales dans ma journée si j’avais un système avec moi. Donc, c’est un petit peu là qu’on Je vais s’en aller. Tu te donnes un peu de négociation, je me dis: L’intelligence d’affaires, ce que je veux dire par là, c’est de la visibilité. Je veux que le système puisse me dire de qui je devrais acheter, c’est quoi? Je dois acheter quand, évidemment. Puis peut-être quel prix? On en a parlé, le quel prix, c’est plutôt comment faire des demandes de prix efficacement aussi. Mais on a peut-être une historique qui est bonne encore ou un contrat d’affaires qui est bon avec nos fournisseurs. Vous avez peut-être la chance d’être dans une de ces situations-là. Puis des indicateurs, c’est toujours important à voir aussi pour pouvoir se guider à travers tout ça. Justement, on parlait de quand acheter. Combiner des critères tels que quand banque, qu’est-ce qu’on voulait dire?

Oui, évidemment. Vous en êtes quelques-uns à être dans la répétition. Ça conviendrait que le système nous aide à facilement gérer toute cette portion-là de de restockage, de savoir quand recommander, d’avoir aussi peut-être des outils pour gérer nos pièces critiques, nos composants critiques ou à long délai. Quand on est en design sur commande, c’est des choses qu’on voit souvent. Tout ça, on aimerait que ça fasse partie d’un système facile à exécuter. C’est le rêve. Puis comment on fait pour justement amener ça en réalité? Là, vous m’avez vu venir. C’est quand même Ginius qui fait cette présentation-là. Ben, achetez Génius. Il faut que je le dise, c’est mon pitch. Mais en gros, je vais vous montrer qu’est-ce que le genius peut faire pour vous aider. C’est quoi la réalité de tout ça dans l’ère Ginius ou dans notre réalité avec notre RP. Évidemment, ici, on va amener tous nos joueurs qui sont clés au fonctionnement de la compagnie dans un système, le même système que l’acheteur l’utilise, qui fait qu’à ce moment-là, la demande, elle est là, elle est visible. Ce que l’acheteur va faire comme action, il va pouvoir la faire en réaction à ces demandes-là, avec une bonne visibilité, l’information qui vient du système et de la même façon, dès que lui, il va prendre l’action, il ne faut pas les oublier nos autres joueurs.

L’information va recirculer vers eux. C’est pour ça que ma flèche est dans les deux directions. C’est une affaire d’équipe, à la limite. J’aurais peut-être même mis ça comme étant une espèce de d’un groupe sans fin, d’un cercle sans fin. C’est quelque chose qui continue et perdure toujours. Donc, comment on fait ça? C’est le temps de ma démo. Là, on va tomber dans le logiciel, puis on viendra un petit peu pour clôturer ici. N’oubliez pas, au fur et à mesure, si vous avez des questions, vous pouvez les mettre dans la section Questions-réponses de Zoom, puis on va se faire un plaisir d’y répondre. Si je n’ai pas le temps aujourd’hui, ça va être très prochainement par courriel ou par suivi. Pardon, je n’ai pas éteint la sonnerie de mon téléphone. Je fais ça tout de suite, je suis vraiment désolé. Voilà. Donc, si je pense à Gius, qu’est-ce qui se passe dans un ERP? La première chose, on l’a dit, on veut centraliser la demande. Ça, c’est mon point 1 que je veux vous montrer. Je vais tomber directement dans un environnement où est-ce qu’on va gérer les bons de production. Qu’est-ce que ça veut dire ici?

C’est l’endroit où est-ce que, par exemple, les ventes vont passer une commande, on va avoir un besoin à paraitre. On appelle ça une réservation de matières ou de composantes. De la même façon, j’ai un ingénieur qui fait mon design, il va venir me mettre des pièces ici ou il va venir relâcher des pièces à cette production-là. Je me retrouve avec un bon de production qui en dessous, ici il y a des taches, on va en faire vivre aujourd’hui. Et je me retrouve avec différentes pièces. Par exemple, si je regarde celle-ci, c’est un filtre. Si je regarde, on en a besoin d’un pour cette commande-là. Et si je descends plus bas, on voit tout le statut d’inventaire. J’ai de la visibilité. Mon information est centralisée. Qu’est-ce que je veux dire par là? Je sais que j’en ai 26 en moins. J’en ai J’ai besoin de cinq. Oui, je parle de la visibilité. Je peux cliquer ici et voir tous mes besoins, même classés pendant le temps si je veux. J’ai besoin d’un pour cette job-là, deux pour celle-là, je ne vois pas quel client c’est. J’ai mes cinq besoins pour ces filtres-là. Ce qui fait que si, à raider, les ventes veulent se présenter puis venir en prendre un inventaire, ils ont cette visibilité.

Je n’ai besoin de trois mois, il m’en reste 21 disponibles. Je suis sûr que je n’en vole pas à personne, je les vois les besoins ici, les d’inservation. Si la commande pour les ventes est rentrée, elle va apparaître ici, ça va monter la quantité qui est réservée pour des besoins de pièces de remplacement, par exemple. Donc, en temps réel, on voit l’information qui se reflète dans le système pour que tout le monde puisse l’avoir. Tantôt, on pourrait voir d’autres pièces qui ont aussi des commandes ou de la production en cours pour rentrer de l’inventaire et on va voir le résultat final en bas. On parlait aussi de visibilité pour les autres gens de l’équipe. Ici, je suis dans un environnement de production, donc je peux voir ici le point d’exclamation qui me dit: Je suis en rupture. Je n’ai pas toute la matière que j’ai besoin pour commencer cette production-là. Si je clique, par exemple, sur cette pièce-là, on va parler d’une plaque de montage. Je ne suis pas trop sûr de la traduction de tout ça. Je dis besoin de deux. Si je regarde en bas, je n’en ai pas un inventaire en ce moment.

J’en ai besoin dix. Je ne exploserai pas la section, mais on comprend que je tombe à moins dix en ce moment. Clairement, je n’ai pas besoin d’aller fouiller, je n’en ai pas sur les tablettes. Mais j’ai un PO, j’ai une commande d’achat. Si j’explose ici, on va voir, j’ai un PO pour 6 qui a été fait à mon fournisseur d’alcool qui devrait arriver le 22 mai. Donc, je devrais être confortable, mais il va encore me manquer quatre pièces. Donc là, clairement, il y a des actions à prendre au niveau des achats. On le voyait à un point d’exclamant. Là, à ce niveau-ci, je vais vous montrer un peu la visibilité qu’on a par rapport à l’inventaire. Cette zone de widget d’inventaire, que j’appelle, se retrouve partout dans le genius. On a cette visibilité-là partout dans le système. À ce point-ci, on veut parler du rôle de l’acheteur. Mon Mike, il arrive devant l’écran et il fait: Mike ne travaillera pas ici. Ça, c’est vraiment la place où les autres gens vont venir mettre leurs besoins. On ne veut pas que Mike continue à travailler avec aucun goût à chaque feuille post-it pour traiter la demande.

Ce qu’on veut que Mike puisse faire, c’est de regarder, on va appeler ça l’état de résultat des besoins. Puis on veut qu’il puisse réagir à cette liste de besoins-là pour pouvoir justement centraliser sa réaction, puis lui donner une monnaie aussi, peut-être de négociation avec les fournisseurs. Donc, dans le cas du rauque domaine, je vais m’en aller du côté des achat et je vais avoir une bonne visibilité sur tout ça. Je vais m’en aller directement dans notre écran qu’on appelle le réapprovisionnement recommandé. Ici, qu’est-ce que c’est cet écran-là? En haut, j’ai mon panier d’achat Ça, si on veut. Shopping cart. Je ne sais pas comment ça se dit en français. Puis en bas, j’ai ma liste d’achat. Je mets ma liste d’épicerie ici, puis ce que je mets dans mon panier en haut. C’est bon. Qu’est-ce que je peux faire ici? Je peux tout simplement filtrer. Et là, je vois apparaître tout ce qui est, vous voyez ici Rupture sous minimum. Tout ce que je sais qui est soit en dessous de notre minimumon va parler des cambans, des choses comme ça bientôt, va sortir ici, ou encore tout ce que je sais que j’ai un besoin.

Là, j’en ai beaucoup. Laissez-moi, on va le filtrer rapidement pour avoir un petit peu moins de besoins dans le but de ma présentation. Et voyez-vous, on a la fameuse plaque de montage que j’ai pointée tantôt. On revoit encore: j’ai un besoin de quatre. À quel point c’est urgent, ça? Quand est-ce que je dois commander? De qui Comme on parlait tantôt, on veut avoir de l’accès à l’information. Je vous explique comment ça fonctionne. Vous avez déjà vu ici comment ça fonctionne pour aller voir l’information, mais je peux aussi l’avoir dans une prévision dans le temps. Je suis capable d’aller voir toutes les fluctuations dans le temps de mon Je vais mettre ça plus large, j’allais comprendre. Donc, ça va commencer. La prochaine chose qui est prévue, c’est l’arrivée de mon bon d’achat avec mes six composants. Super. J’en reçois six, mon inventaire va devenir six, on est à zéro. Après ça, le 28, il va se passer que j’en ai besoin de deux pour ce job-là, pour ce client-là. Donc, mon inventaire va descendre à quatre et ainsi de suite. Et on voit bien que rendu au 3 mai, ici, je vais tomber en négatif. Il faudrait que j’achète…

Je passe un PO qui doit rentrer avant le 3 mai. Regardez ici en bas. Date de rupture le 3 mai. C’est ma prochaine date où j’ai besoin de rentrer de l’inventaire. Et qu’est-ce qui me dit ici? Quantité en rupture moins quatre. Suggérer quatre. Donc, 4. Suggérer, 4. Donc, Génius a déjà tout calculé ça pour nous et a pris ça en ligne de compte. Donc, ce que je peux faire, c’est glisser dans mon panier ce que j’ai besoin d’acheter. On va y revenir, comment ça se crée en On va mettre d’autres choses dans notre panier et je reviens à la section du haut d’un coup. Après ça, on a parlé aussi, on a vu la fluctuation dans le temps, comment nos besoins apparaissent en bas. Mais je vais aller un petit peu plus loin parce qu’il y a plus d’informations que ça ici dans la page. Maintenant qu’on s’en va voir ici la plaque. Pourquoi je pointe sur la plaque? Regardez ici, j’ai une quantité minimum et maximum. Nos fameux cambans ou nos fameuses alertes de niveau d’inventaire, on les gère dans ce génius. On va être capable de dire: Si je descends en bas de ce Cette quantité-là, remets-moi l’inventaire, réapprovisionne-moi, finalement.

On voit ici, j’en avais zéro, j’en ai besoin de cinq, mais j’en ai déjà six en commande. Donc, normalement, après tous mes besoins, il va m’en rester un. Pourquoi le fait de m’a suggéré d’en acheter, on vient de le dire, on veut tout le temps en avoir au moins cinq sur la tablette. Donc, vous le voyez ici, mon minimum cinq. Alors, le système a dit: À vrai dire, je suis en rupture de moins quatre, un minimum cinq, quatre. Donc, si je prends cette ligne-là et je la glisse en haut, encore une fois, il est venu me créer une commande pour quatre, ou plutôt, j’ai ajouté à mon panier, ce n’est pas encore une commande, pour quatre. Je pourrais aussi venir échanger ici, là-dedans le haut, j’ai le contrôle complet. Je pourrais venir ajouter si je connais d’autres raisons pourquoi je dois ajouter des quantités. Alors, l’autre chose importante. Vous voyez, il y a déjà des noms de fournisseurs qui sont affichés. J’ai déjà un prix qui est affiché. On en a parlé. Je vais parler là, centraliser l’information On a la visibilité, la facilité à venir voir cette information-là pour agir dessus. Et puis là, je m’en vais encore dans l’aspect d’accès à l’information.

Où est-ce que je peux aller consulter, par exemple, je regarde ma plaque ici. J’ai trois fournisseurs possibles. Je les vois directement ici. Je peux les comparer. Il y en a qui ont des meilleures idées que d’autres. On en a qui ont, par exemple, des coûts différents. Je suis capable de comparer mes différents fournisseurs. Et voyez-vous, en plus, j’ai un niveau de priorité. Ça veut dire que quelqu’un s’est cassé un petit peu le cabochon à dire: Je préfère vraiment utiliser ce fournisseur-là en premier. En second lieu, ce sera celui-là. Et vous voyez, ici, j’ai 99. Gynus va toujours pour nous, tracer, garder une historique de qui j’ai déjà utilisé dans le passé. Il va l’ajouter au niveau 99. Je pourrais en avoir plusieurs en 99. C’est simplement pour me garder l’historique et me la présenter que Génieus garde cette information. Vous comprenez ici que si j’aurais voulu utiliser un autre fournisseur, j’aurais pu cliquer cette ligne-là, l’envoyer par en haut et ça aurait choisi l’autre fournisseur avec le prix de ce fournissant-là, ainsi de suite. Dans le fond, cet écran-là, oui, je vous dirais, c’est super la portion d’informations qui nous est donnée, mais je pense qu’un des plus gros gains est vraiment au niveau de la facilité cléricale aussi de prendre action.

La liste en bas nous permet de toujours rester à l’affut de: est-ce qu’il y a quelque chose qui va tomber en rupture Et après ça, en glissant, je rends toute la portion de créer mes bons d’achat, de faire cette transaction-là très, très, très facile pour l’intervenant, pour le maître, notre acheteur. Donc, ce qui était la gestion de papier sur le bureau, ce qui était un message vocal, etc. Les gens ont une façon de procéder. Après ça, cette information-là, elle m’est présentée et je suis capable de réagir très efficacement et très rapidement sur ces besoins-là. Là, je vais aller un peu plus loin On va commander une panoplie des fiestes ici. Une bonne quartier. Je vais tout envoyer ça dans mon panier. Là, je suis capable de réviser qu’est-ce que j’ai à ajouter dans mon panier. Vous comprendrez que moi, peut-être que là, je suis en train de passer mon assis, par exemple. Je pourrais filtrer différents types de produits dans tout ça. Plein de façons d’utiliser cette maquette efficacement. Et là, je pourrais passer des PO à d’autres et d’autres types de produits et tranquillement réviser tout ça. Je pourrais filtrer par fournisseur ou encore, moi, j’aime bien grouper.

Et là, je vois que je suis sur le point d’émettre cinq. Cinq différents bons d’achat comme j’ai cinq fournisseurs. Et l’information va être regroupée à l’intérieur de ces différents PO-là. Comme ça, je vais pouvoir passer un PO à mon fournisseur. Vous voyez, là, là, je commence à parler d’effet un peu de volume, puis peut-être me donner un petit peu le pouvoir de négociation avec mon fournisseur. Je vais te passer toute cette commande-là, mais tu es sûr de m’expédier cette composante-là un peu plus rapidement. On en a vraiment besoin rapidement, sinon je vais être obligé d’aller voir un peu plus un conseilleur pour à quelqu’un qui peut me la donner. Et là, tu viens avec ton lot de d’autres composantes qui donnent plus de marché à ton fournisseur. Donc, c’est là qu’on parlait de pouvoir de négociation. L’autre chose. On en a parlé tantôt, ici, tout ce que je fais là, ça s’en va pour faire monter mon inventaire. C’est peut-être bon pour les quelques-uns d’entre vous qui font de la production un peu répétitive, un peu avec une demande qui est récurrente. Ces gens-là ont souvent un inventaire. Ce n’est pas que dans un milieu de fabrication spécialisé, on n’en a pas d’inventaire, on en a souvent un petit peu.

Mais souvent, ces gens-là vont commander à la job. Par exemple, si je m’en vais sur ma plaque, ici, je pourrais dire Génère les imputations. Qu’est-ce que ça veut dire? Je vais créer Il y a un lien entre les pièces que je commande et les différents jobs où ces pièces-là vont aller. Là, ça veut dire que ces lignes-là vont être reçues en inventaire. Là, on va… Gynès va être en mesure de vous donner, par exemple, des localisations par défaut, trace de numéro de C, de l’eau, on a beaucoup de capacités à ce niveau-là. Et dans le cas de cette pièce-là, quand elle va rentrer, où ces quatre pièces-là, à la réception, on va nous indiquer la même information qu’il y a ici à dire: Ça, ça va sur ce projet-là. Ici, je parle de pièces que vous avez Il n’y a probablement même pas de place sur les étalages pour les gérer. C’est probablement des pièces qui s’en vont directement, soit dans un cart ou un endroit spécifique où on est en train de produire un projet ou un produit, et qui, justement, qui doit aller directement dès la réception. Donc, ça nous permet de gérer ce type d’activité-là aussi.

Cet écran-là englobe plein d’autres belles fonctionnalités. On va être capable de gérer des quantités minimum économiques qu’on veut commander. Je n’ai besoin de quatre, mais quand j’achète chez eux, il faut que j’en achète 10. Je ne vais pas nous suggérer de passer à la quantité 10 au niveau quatre pour atteindre ce minimum économique-là. Après, on peut même gérer des différentes unités de mesure ou des grandeurs de lots. Ça s’achète en boite de 25, par exemple. Donc, tout ça peut être géré à travers l’écran. Je clique sur Créer bon Achat et Gynius va revenir à ma page des contrôles des achats avec chacun des PO visibles à l’écran pour que je puisse les réviser, les envoyer à mes fournisseurs. Donc, encore une fois, le clérical est beaucoup réduit. Puis même, vous allez voir pour l’envoi du PO, on y a pensé. Oui, je suis allé… Je vais voir les fenêtres. Voilà, là, j’ai mes différents PO qui ont été créés. Voyez, ils sont même en couleur ici sur la gauche. Si je m’en vais, par exemple, sur Delco, je verrais que ma plaque ici, elle a encore les assignations au job. Je suis encore pas capable de visualiser cette belle information-là.

Et si il est temps d’envoyer mon PO à mon fournisseur, maintenant, je peux tout simplement appuyer sur Courriel et demander mon bon d’achat par courriel. Et le genius va m’ouvrir mon outil de courriel avec le ou les bons courriels affichés ici. Sans dire, là, Gynus gère multiples contacts sur un compte fournisseur. Et on peut dire le contact va recevoir quelle forme de rapport. Peut-être que certains de vos contacts vont recevoir des demandes de prix, d’autres vont recevoir les commandes officielles. Vous pouvez ajouter ça à votre guise. Et là, ici, la barre serait pas plus d’un ou plusieurs courriels. Et mon PO est déjà attaché, prêt à envoyer. Donc, on s’entend ici, fonctionnalité complète, C’est-à-dire que je peux glisser, créer mon PO, cliquer sur l’email, j’envoie mon PO et la partie clélicat de passer ma commande est faite. Avant de sortir d’ici, on en a parlé avec la Covid, on vit dans un monde de demandes de prix. Génieus a porté pas mal de bonnes fonctionnalités par rapport à ça. Je vous fais un petit exemple ici. J’ai une demande de prix dans le système pour deux, trois systèmes. Qu’est-ce qui se passe? C’est qu’ici, je suis capable de venir populer une grille, Je sais pas si le mot populer est bon.

Vous voyez, j’ai rajouté plusieurs fournisseurs à ma grille. Et là, je peux dire, en cliquant ici, quel produit le fournisseur peut me fournir. Vous voyez, par ici, Marshall, je me dis qu’il ne peut pas me fournir la Gearbox, tandis que lui, ce fournisseur-là, Torrenton, il ne me fournit pas des filtres. Et là, je suis capable, dès que j’en ai besoin, de simplement sauvegarder et de dire: Envoyez par courriel. Et là, encore une fois, Génieus va me générer un premier courriel pour mon premier fournisseur avec attaché son fichier Excel à tous les produits que j’ai besoin. Parce que vous pouvez imaginer que cette pièce-là pourrait être 100, 200 lits. C’est pas nécessairement deux, trois lits. Et quand je la ferme, il va aller au prochain fournisseur pour me popper son message avec son propre fichier Excel. Comme vous avez vu, tantôt, j’avais désélectionné certains des produits Donc, ce n’est pas tout le temps la même liste que les fournisseurs vont recevoir. Et un troisième. Lorsque je reçois l’information, je vais être en mesure de l’importer à nouveau. Ça avait été rentré dans Excel. Ou encore, peut-être que dans un cas comme ici, où est-ce que j’ai trois stands, je pourrais dire, je ne sais pas, c’était 45,1, 5 jours.

Ici, peut-être que c’était 50 $, mais c’était une journée. C’est clair que je m’en vais vers lui. Et vous voyez quand je dis que j’ai un gagnant, je vais pouvoir venir convertir en commande d’achat. Je vais garder cette historique-là de demande de prix dans les fichiers et je vais avoir créé une nouvelle commande d’achat à partir de cette demande-là, qui sont liés ensemble. Beaucoup de liens comme ça dans le genius pour retracer l’information. Vous voyez qu’on vous amène quand même des outils, encore une fois, pour diminuer le plus possible le clérical, la gestion des demandes d’achat. Je vois le temps qui file, alors je vais aller rapidement un petit peu fermer la boucle sur ma présentation. On l’a dit, ce n’est pas juste Mike, ce n’est pas juste l’acheteur qu’on veut faciliter le travail. Il faut que la visibilité retourne à nos autres usagers qui sont super important pour le fonctionnement de la compagnie. Si je reviens par exemple dans ma gestion des montres de travail. Vous vous en souvenez, j’avais des petits affichages de rupture. Je vais vous amener dans une vue qui est un petit peu plus complète pour voir cette information-là qu’on appelle le plan matière d’Angeles.

Vous voyez Mais vous, ici, on avait toutes les composantes requises pour cette production-là. Puis j’en avais certaines qui étaient rouges, vert ou d’autres qui étaient en cours, en chambre. On a une visibilité directement de si l’inventaire va être disponible ou non pour ce projet Oui, oui, Ginius, il va regarder dans le temps. J’en ai 10 en inventaire, premier projet, je suis vert, deuxième vert, puis hop, j’arrive au troisième, puis je vais me manquer de l’inventaire, je vais tomber rouge. Ginius fait ce plan matière-là, justement. Si j’exécute mon plan matière, maintenant que j’ai passé mes PO, vous allez voir que plusieurs des couleurs vont changer du rouge au jaune parce qu’on a passé une commande. Je suis capable de voir que maintenant cette pièce-là est sur une commande d’achat, devrait rentrer le 4 avril et et il va venir de ce fournisseur-là. Je pourrais même cliquer ici puis aller voir le PO que Mike a passé pour avoir plus d’informations. Donc, je ramène la visibilité sur les statuts en temps réel au reste de mon équipe ou encore, je peux peut-être me faire des alertes si j’en ai besoin. Donc on pousse la visibilité à tous les membres de l’équipe.

Ça clôture un peu ma démo pour aujourd’hui. Si je reviens au niveau un peu pour conclure, qu’est-ce qu’on a apporté? On va avoir les demandes centralisées, tout le monde va pouvoir rentrer ses demandes. On va Je suis capable de gérer d’une façon structurée, non pas en cas par cas, transaction par transaction, au compte-goutte. Je vais pouvoir gérer tous mes besoins, ce qui me donne un pouvoir de négociation. On l’a vu avec le choix des fournisseurs, avec toute l’information qu’on vient mettre à l’écran, on a beaucoup d’indicateurs pour nous permettre de faire les bons choix et de prendre des décisions à viser. Puis oui, dans tout ça, on va aussi vous permettre de gérer des minimums d’inventaire, des systèmes à long délai. Certaines des fonctionnalités que je n’étais pas couvert aujourd’hui comme les systèmes à long délai vous remettent, par exemple, si vous êtes en ingénierie sur commande, d’avoir les ingénieurs de relâcher des pièces critiques à long délai, très tôt dans le processus, même s’ils n’ont pas encore fait de dessin d’approbation de relâche, on peut faire une liste d’items à acheter de façon préliminaire. Et Puis quand on vient relâcher nos designs, on va être capable de resynchroniser cette information-là avec ce qui était relâché en production.

Quand même des fonctionnalités très poussées pour l’ingénierie sur commande. Si vous ne me connaissez pas à ce niveau-là, c’est tout à fait notre besoin, notre dans le milieu. Dans le fond, ce que ça permet à Mike, c’est d’être en contrôle, d’être plus proactif, d’être capable de négocier. Je pense qu’on remarche les mêmes informations encore, puis je vois l’heure avancer. Je vais me rendre rapidement, voir s’il n’y a pas des questions. Vous comprenez aujourd’hui que je pense qu’on amène beaucoup de solutions à des gens qui sont peut-être en manque de système, en manque de contrôle. Puis j’espère que vous voyez un gros gain à passer avec des gens comme nous chez Genius ERP. Déjà motivé comme vous le voyez, j’aime bien ce que je fais. Je Si je regarde un petit peu les questions. Ici, je n’en ai pas. Ma présentation s’est éteinte. J’essaie de vous repartir ça tout de suite. Pour ce qui est des questions, j’en avais une commune que j’entends souvent, mais je dirais que… Parce que j’ai souvent entendu… Oui, la soumission à plusieurs fournissages, c’est justement ce que je vous ai demandé avec la demande de prix. On faisait le tableau, du moins.

La question était: est-ce qu’on peut envoyer une soumission à plusieurs fournisseurs? C’est ce que j’ai montré dans le tableau. Est-ce que j’avais trois fournisseurs différents et j’ai appuyé sur Envoyer la demande. Il m’a ouvert un courriel avec le fichier Excel qui allait à chacun des fournisseurs, sa demande de prix, dans le fond. Et ça a poppé un courriel par fournisseur avec le bon contact et le bon fichier Excel d’attaché. Oui, tout à fait, on a une fonctionnalité qui nous permet de faire ça, Dominique. Si vous avez plus de questions, n’hésitez pas à les Vous n’avez pas le temps d’ici à ce qu’on ferme la session parce que c’est pas mal terminé, il est déjà midi. Je vous invite à écrire, soit si vous êtes en contact avec votre représentant, allez-y comme ça. Sinon, mon courriel est ici, vous pouvez m’écrire directement ou encore à bonjour@GeniusERP. Com. On va se faire un plaisir de vous répondre. Si vous voulez en savoir plus sur Genius, on a des différents sites dans le bas, ici, à l’écran, GeniusERP. Com, où est-ce que vous allez retrouver tous les webinaire. Probablement, vous êtes déjà allé pour vous inscrire aujourd’hui. Puis vous allez voir sur YouTube, on a aussi deux canaux qui vous permettent de voir un peu plus d’informations sur d’autres fonctionnalités ou encore même, sur genius solutions, présente quelques casques des cas vécus de certains de nos clients.

Je vous remercie d’avoir participé aujourd’hui, Alain, Carmen, Dominique, Lise, j’en saute. Serge, on a une belle participation aujourd’hui. Merci de vous être joint à moi. Et n’hésitez pas de consulter notre site pour les prochains webinaire. Ça va nous faire plaisir de vous voir à nouveau. Merci. Au revoir.